Le trouble de la personnalité borderline se caractérise par des sautes d’humeur, une instabilité relationnelle et une instabilité comportementale. Il est crucial de traiter ce trouble afin de préserver un meilleur niveau de vie pour le patient et son entourage. Pour cette problématique, plusieurs thérapies sont conseillées. Découvrez comment traiter un patient atteint de ce trouble dans les sections ci-dessous.
Vers qui faut-il se tourner dans ce cas ?
L’allié le plus important pour la famille d’un patient souffrant de trouble de la personnalité borderline est un psychologue. Vous avez la possibilité d’aider le patient à se remettre sur pied et à mener une vie meilleure grâce à une consultation psychologique.
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La meilleure méthode pour traiter le trouble de la personnalité borderline est la psychothérapie. En effet, cette approche aborde les problèmes au niveau de l’instabilité émotionnelle et comportementale du contexte relationnel. En fonction de l’évolution de la santé mentale du patient, la psychothérapie doit être suivie pendant une longue période, entre trois et cinq ans.
Les dimensions du trouble de la personnalité
Les quatre dimensions du trouble de la personnalité borderline sont : la dysrégulation de l’émotion, l’impulsivité, les difficultés dans les relations interpersonnelles et la perte de contact avec la réalité. Pour évaluer avec précision l’état du patient, le psychologue doit être capable de comprendre ces dimensions. Rejeter un patient BPD n’est pas une décision judicieuse. Il est important de prendre soin de lui, et il est donc crucial de comprendre les principes fondamentaux de ce trouble.
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Traitement des troubles de la personnalité borderline
Pour un patient souffrant de trouble de la personnalité borderline, trois thérapies sont utiles. La thérapie transférentielle, la thérapie comportementale dialectique et la thérapie de mentalisation sont recommandées par le psychologue. En outre, des médicaments sont administrés, bien que leur objectif principal soit de traiter les symptômes du TPL plutôt que la maladie elle-même. L’état du patient, son comportement face à la maladie et surtout le besoin de réconfort pendant une crise grave sont autant de facteurs qui entrent en ligne de compte dans la décision de fournir des médicaments.